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Cas concret : l'obéissance malgré les distractions

Pour ne pas provoquer de déception, ce qui suit n'est pas un guide de l'obéissance mais quelques notions et démonstrations qui vous montrent que même en présence de fortes distractions, un chien peut obéir.

 

Se rendre plus intéressant que son environnement (potentiellement distrayant) est possible.

 

Cela nécessite un travail régulier avec son chien, de la clarté dans les ordres, et la mise en place d'une relation forte basée sur la confiance et l'entraide.

Acte 1 : le stimulateur (ou distractions)

Le stimulateur est un élément qui intéresse fortement le chien, par exemple un cycliste, un jogger ou un autre chien. Ce stimulateur peut l'amener à oublier qu'il a un maitre et donc à "désobéir" ...

Il se trouve que je triche un peu car ce stimulateur est aussi un renforçateur pour mon chien mais le principe est le même et c'est plus facile à faire avec un Kong qu'avec un cycliste (en tous cas, j'en ai pas à la maison de cycliste).


Acte 2 : l'ordre est donné

Un ordre ou une consigne, terme que je préfère car un peu moins strict, est un mot ou un ensemble de mots qui a un et un seul sens, celui qu'on lui donne. Ma consigne est "couche".

Vous remarquerez au passage que le "pas bouger" ou "reste" n'est pas nécessaire. Nous y reviendrons ultérieurement dans une prochaine vidéo sur l'ordre de libération.


Acte 3 : La clarté du message

La clarté du message est un élément très important à prendre en compte. 1 mot (ou 1 ensemble de mots), 1 message, toujours le même.

Ici l'exemple que je vous propose utilise les termes : laisse, choppe et donne.